El Baile

Mathilde Monnier & Alan Pauls

 

 

Conception et chorégraphie Mathilde Monnier, Alan Pauls
Dramaturgie Véronique Timsit
Scénographie et costumes Annie Tolleter
Création lumière Eric Wurtz
Création son Olivier Renouf
Conseil musical Sergio Pujol
Coaching vocal Barbara Togander, Daniel Wendler
Assistante chorégraphique Marie Bardet
Répétitrice Corinne Garcia
Collaboration artistique Anne Fontanesi

Diffusion intternationale Julie Le Gall - Bureau Cokot

Production et collaboration artistique Nicolas Roux
Avec Martin Gil, Lucas Lagomarsino, Samanta Leder, Pablo Lugones, Ari Lutzker, Carmen Pereiro Numer, Valeria Polorena, Lucia Garcia Pulles, Celia Argüello Rena, Delfina Thiel, Florencia Vecino, Daniel Wendler.

 

Avec la bienveillance de Jean-François Guéganno. Et nos remerciements à Jean-Claude Penchenat, Yann Lorvo, Hélène Kelmachter, Lucie Haguenauer, Diana Theocharidis, Evelyne Loew, Natalia Uccello, Cecilia Kuska.

Très librement inspiré du spectacle Le Bal
sur une idée originale et une mise en scène de Jean-Claude Penchenat, création collective du Théâtre du Campagnol

 

À l’origine il y a Le Bal, pièce sans parole créée en 1981 par le metteur en scène Jean-Claude Penchenat et la compagnie du théâtre du Campagnol, devenue par la suite un lm d’Ettore Scola.

Mathilde Monnier et Alan Pauls, auteur argentin, inventent aujourd’hui un nouveau Bal qui s’ancre en Argentine, dans l’Histoire du pays de 78 à nos jours, plus spécifiquement à Buenos Aires, une ville où la danse a une place significative et qui s’inscrit dans un contexte politique et social fort.

 

Tout en restant dèle à l’esprit originel de la pièce par un travail collectif, une forme d’immanence documentée, un lieu unique et une absence de « dialogues », cette création diffère du Bal original : le déplacement de la forme théâtrale vers la forme chorégraphique bouleverse profondément la donne : il n’y a pas de fiction, même s’il y a toujours du jeu. Il s’agit de traiter de l’histoire argentine d’une manière sensible et subjective. Cette histoire politique ne s’aborde pas « de front », elle s’écrit à travers les rapports d’espace, de mouvements et de situations. Le spectacle invoquera peut-être l’Histoire, mais à travers des histoires minuscules, celles que chaque participant porte en lui, presque à son insu, dans le contexte forcément collectif du bal.
Une vraie communauté, réactive, généreuse, de 12 jeunes artistes chorégraphiques argentins engagés évolue dans un espace qui emprunte au « club social », lieu typique et familier des différents quartiers de Buenos Aires.

Les musiques et chansons interprétées par les danseurs nous guident dans ce déroulé de l’Histoire, à partir d’un passé qui peut-être ne passe pas ou qui ne cesse d’être le prochain présent.

Le vocabulaire scénique puise en partie dans une déconstruction des danses urbaines et populaires de l’Argentine (tango, escondido, chacarrera, valse tanguera, chamamé, cumbia, cuarteto, samba argentine). Ce répertoire plonge d’emblée le spectateur dans une mémoire, provoquant reconnaissance et identification, qu’un rien suffit à métamorphoser en un enjeu plus vaste, lisible par tous.

Le spectacle fait sentir à quel point l’histoire d’un pays ou d’une ville est aussi l’histoire de ses corps, de ses larmes, de ses cheveux, de ses pas et de ses danses.

 

 

CONTACTS DIFFUSION : 

Production et diffusion Nicolas Roux
+33 (0) 6 24 62 71 24 / nicolas.roux@lequai-angers.eu
Chargée de diffusion internationale Julie Le Gal
+33 (0)6 12 65 62 14 / julie@bureaucokot.com

Presse

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